le contrôle gouvernemental de l'engagement, c'est-à-dire de garantir au président de la République le contrôle des armes nucléaires, notamment de son engagement ;
le contrôle gouvernemental de la conformité de l'emploi, c'est-à-dire s'assurer que les forces armées appliquent les directives du président de la République ;
le contrôle gouvernemental de l'intégrité des moyens, c'est-à-dire protéger l'ensemble des moyens contre les actes malveillants ou hostiles et contre les atteintes au secret de la défense nationale, notamment lors des transports de matériels sensibles[4].
La GSAN est composée d'unités organiques (50 gendarmes) et d'unités de participation (250 gendarmes). Ces dernières sont désignées par la Direction générale de le Gendarmerie Nationale et sont rattachées pour emploi à la GSAN. Un exemple d'unités de participations fût l'escadron 11/6 de la gendarmerie mobile dans le cadre d'un peloton spécial de sécurité[5].
Une antenne spéciale de sécurité armes (ASSA) implantées à Taverny (95)
Une antenne spéciale de sécurité de transports sensibles (ASSTS) implantés à Taverny (95)
Une antenne spéciale de sécurité de l'île Longue (ASSILO) implantée à Crozon (29)[4]
Unités de participations
Les unités précises varient mais on en distingue deux types:
des pelotons spéciaux de sécurité (PSS) implantée sur les différentes bases à vocation nucléaire
des escadrons de gendarmerie mobile pour assurer les missions de transports sensibles liés à la dissuasion nucléaire (à ne pas confondre avec les escortes « Tango » qui concernent le nucléaire civil).