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À partir de 2018, des opposants effectuent différents activités pour bloquer ou ralentir la construction du gazoduc. Ils « agissent avec l’accord des chefs héréditaires des Wet’suwet’en, qui n’ont pas consenti au passage du pipeline sur leur territoire traditionnel »[1].
Le , la Gendarmerie royale du Canada procède à l'arrestation d'une quinzaine de personnes « en vertu de l’injonction contre les opposants à la construction du gazoduc Coastal GasLink »[2]. Parmi celles-ci se trouvent deux journalistes, qui sont remis en liberté sous conditions le lendemain[3], puis les charges à leur encontre sont abandonnées le [4]. Jusqu'à maintenant, 29 personnes ont été arrêtées en vertu de l'injonction[4].
Du 19 décembre 2021 au 5 janvier 2022, les travaux de construction du gazoduc sont interrompus à cause de manifestants, qui ont préféré quitté de crainte d'une intervention de la GRC[1].
Notes et références
↑ a et b« La construction de Coastal GasLink reprend après le départ d’opposants au gazoduc », Ici.Radio-Canada.ca, (lire en ligne)
↑« La GRC arrête 15 personnes de plus en lien avec le pipeline Coastal GasLink », Ici.Radio-Canada.ca, (lire en ligne)
↑Geneviève Lasalle, « Les journalistes détenus dans le nord de la C.-B. libérés sous conditions », Ici.Radio-Canada.ca, (lire en ligne)
↑ a et b« Accusations abandonnées contre deux journalistes arrêtés dans le nord de la C.-B. », Ici.Radio-Canada.ca, (lire en ligne)