Il commence sa carrière à Charenton-le-Pont puis à Bucarest avec Dimitrie Maimarolu(en) jusqu’au début de la première guerre mondiale. Mobilisé, il est blessé à Ypres durant la guerre. Après la guerre, il devient architecte en chef de la reconstruction pour le département du Nord. Il est fait chevalier de la Légion d’honneur en 1923[1].
Il s’installe ensuite comme architecte à Marcq-en-Barœul puis à Lille ou il réalise un grand nombre de projets souvent en béton armé[2].
Son fils Paul Trannoy, né en 1907, suit les traces de son père à l’École nationale supérieure des beaux-arts, puis il s’installe architecte à Paris et au Portel.