Le GUBOPiK est une unité du ministère biélorusse des Affaires intérieures(en) créée en 1991 et réorganisée en 2003. Il est décrit par les médias comme « l'un des principaux organes responsables de la répression politique » en Biélorussie[1]. Historiquement, il est connu pour des actes de pression sur des groupes informels d'extrême droite et d'extrême gauche et de cruauté sur des détenus[1].
Le , Andreï Parchyne, chef du GUBOPiK, et d'autres officiels haut placés sont ajoutés à la Specially Designated Nationals and Blocked Persons List aux États-Unis[15] et aux listes de sanctions canadiennes[16]. Le même jour, Parshyn est aussi la cible de sanctions financières britanniques[12].
Dirigeants
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Nikolaï Karpenkov (de 2014 à 2020).
Andreï Parchyne (depuis 2020).
Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « GUBOPiK » (voir la liste des auteurs).
Notes
↑Nom complet russe : Главное управление по борьбе с организованной преступностью и коррупцией МВД Республики Беларусь, Glavnoïé oupravlenié po borbé s organizovannoï prestoupnostiou i korrouptsieï MVD Respoubliki Belarous.
↑Nom complet biélorusse : Галоўнае ўпраўленне па барацьбе з арганізаванай злачыннасцю і карупцыяй МУС Рэспублікі Беларусь, Halownaïé oupawliennié pa baratsbié z arganizavanaï zlatchynnastsiou i karouptsyiaï MUS Respoubliki Bielarous.