Il abandonne ensuite ses activités journalistiques pour se consacrer à l’écriture et quitte Paris pour se réfugier à la campagne en Touraine où il écrit de nombreux essais sur l’art où il s’intéresse aux processus de création en peinture et sculpture. Ses livres sur Robert Malaval (« Visible la nuit »), Francis Bacon (« L’odeur du sang humain ne me quitte pas des yeux/Conversations avec Francis Bacon », « Avec Bacon »)[5] et Giacometti (« Le Dernier modèle » pour lequel il reçoit le Prix Renaudot essai 2012, « l’Homme qui marche »)[3] sont traduits en plusieurs langues. Parallèlement, il questionne à travers des romans plus intimes ses origines, son enfance : « Le père de mon père », « L’eau qui passe » (Prix Jean Freustié 2019). Son dernier livre « Histoires naturelles »[6],[7] une ode à la nature, suite de 17 textes, paru au Mercure de France en 2022, souligne son rapport intime à la nature. Dans L’Humanité, Vincent Roy écrit : « Qu'est-ce qu'un style ? L'invention d'une liberté. Celle de Maubert est inouïe. Il la trouve dans le roman de la nature. Voici l'un des plus beaux livres de ce début d'année. »[8]