L'espringale se compose d'un châssis parallélépipédique, supportant une sorte d’arc interne[1]. Elle fonctionne selon les mêmes principes que les balistesantiques, mais avec des bras oscillants situés à l’intérieur. La corde employée est constituée de tendons ou de fibres de soie torsadées[3]. L’armement est effectué par des crochets amenant cette corde jusqu’à la noix de tir, grâce à l'action, selon les modèles, soit d’une tige filetée, soit d’un treuil[1].
Étymologie
Le terme espringale vient de l’allemandspringen, signifiant sauter, via l’ancien françaisespringuer, de même sens[1].