Leur mélange est unique : ils sont un peu réalistes, un peu critiques, assez pop, pratiquant citations picturales, anachronismes et pastiches doux-amers. Le tout est assez jubilatoire et bon enfant, mais pas joyeux, car l'ombre du franquisme est présente tout au long de leur œuvre.
L’œuvre El Intruso lança ou plutôt développa leur carrière, cette œuvre dénonce la guerre et veut sauver l'économie.
La projection nationale et internationale d'Equipo Crónica est la plus importante des mouvements artistiques valenciens des années 1960. Le groupe a influencé le travail d'autres artistes valenciens tels que Rafael Armengol(es), Manuel Boix, Antoni Miró et Artur Heras[3].