Après la campagne désastreuse de Napoléon en Russie, Metternich propose une médiation autrichienne pour conclure une paix de compromis[2] qui aurait laissé la France dans ses « frontières naturelles » (Belgique et rive gauche du Rhin). Napoléon refuse.
↑(en) Mark Jarrett, The Congress of Vienna and its legacy : war and great power diplomacy after Napoleon, London/New York, I.B.Tauris, , 522 p. (ISBN978-1-78076-116-9, présentation en ligne)
↑Agnieszka Moniak-Azzopardi, La Russie orthodoxe : Identité nationale dans la Russie post-communiste, Éditions L'Harmattan, , 590 p. (ISBN978-2-296-21654-9, présentation en ligne)
↑Nicolas Viton de Saint-Allais, Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Agricole Joseph François Xavier Pierre Esprit Simon Paul Antoine Fortia d'Urban, L'art de verifier les dates, vol. 11, Paris, Dupont et Cie, (présentation en ligne)