Sous la régence d'Alger, elle reste frappée à Tlemcen et employée à l'ouest, mais également à Alger et au centre du pays jusqu'au XVIIe siècle en raison de l'approvisionnement de cette ville en or soudanais. Le poids de ces pièces était variable selon l'usure et la qualité de la frappe allant de 4.58g à 4.66g.
Le zayanî avait des sous-multiples en or : demi, quart et huitième. Le zayanî avait aussi son correspondant en pièce d'argent, la « dobla ziyaniya » ou « dobla morisca »[1].
Notes et références
↑Lemnouar Merouche, Recherches sur l'Algérie à l'époque ottomane : Monnaies, prix et revenus, 1520-1830, Editions Bouchène, (ISBN978-2-35676-054-8, lire en ligne), p. 29