Didó Sotiríou est née le à Aydın, ville d'Asie Mineure de l'Empire ottoman[1]. À partir de 1936, elle devient journaliste; elle travaillera pour plusieurs organes de presse, dont le journal Ριζοσπάστης à partir de 1944, la revue artistique Επιθεώρηση Τέχνης et le quotidien de gauche I Avgí.
Elle publie son premier roman, Les morts attendent, en 1959[1]. Il sera suivi d’Électre en 1961, et de son chef-d'œuvre D'un jardin d'Anatolie, également connu sous le titre Terres de sang, paru en 1962, réédité soixante-cinq fois en Grèce et traduit en six langues[1].