Militante pour la non-violence dès l’âge de dix-sept ans, Deborah Ellis rejoint la ville de Toronto après ses études de lycée, afin de travailler dans un mouvement pour la Paix. Plus tard, elle s’investit dans un mouvement en faveur de l’égalité des femmes et la justice économique. Mais son engagement le plus fort est politique : Deborah Ellis est une fervente partisane de la politique anti-militarisme. Les droits de son roman seront intégralement reversés à Wyman for Oman in Afghanistan, une association qui apporte son soutien à l’éducation des jeunes filles afghanes dans les camps de réfugiés au Pakistan.
En 2020, elle est sélectionnée pour représenter son pays, le Canada, pour le prix Hans-Christian-Andersen, dans la catégorie Auteur[1], prix international juanais fm.