Corinne Imbert, originaire de la région parisienne, s'installe à Beauvais-sur-Matha en 1981. Après avoir commencé ses études de pharmacie à Châtenay-Malabry, elle les a poursuivies à la faculté de Limoges pour être diplômée docteur en pharmacie en 1984. Elle a deux enfants nés en 1983 et 1985. Son frère, Bruno Belin, qui est conseiller départemental du canton de Loudun et sénateur apparenté LR, est également pharmacien.
En 2014, elle est réélue maire de Beauvais-sur-Matha.
À l'issue du scrutin du , elle devient la première femme sénatrice de la Charente-Maritime. Corinne Imbert est rattachée au groupe UMP du Sénat où elle siège à la Commission des Affaires sociales.
En mars 2015, elle est élue conseillère départementale du canton de Matha en tandem avec Jean-Marie Roustit. Ils ont pour suppléants Stéphane Chedouteaud et Marie-Pascale Soulard[1]. Elle devient 1re vice-présidente du département de la Charente-Maritime.
Le , dans le cadre de l'affaire Fillon, elle choisit de ne plus soutenir le candidat LR François Fillon à l'élection présidentielle[4].
En septembre 2017, elle démissionne de ses mandats de Maire de Beauvais-sur-Matha et de 1re Vice-présidente du département de la Charente-Maritime afin de se mettre en conformité avec la loi sur le non-cumul des mandats[5]. Toutefois, elle reste conseillère départementale de la Charente-Maritime et conseillère municipale de Beauvais-sur-Matha.
Dans le cadre du projet de loi bioéthique, elle propose au Sénat en janvier 2020 un amendement destiné à élargir « à titre expérimental », le diagnostic préimplantatoire (DPI) « pour la recherche d’anomalies chromosomiques non compatibles avec le développement embryonnaire »[6].
En octobre 2020, elle devient Secrétaire du Bureau du Sénat.
Avril 2018 - mai 2018 : Présidente de la Mission d'information sur le développement de l'herboristerie, des plantes médicinales, des filières et métiers d'avenir