Vu l'« état actuel de déliquescence de la société congolaise qui exige du chrétien engagé la prise de ses responsabilités en tant que sel de la terre et lumière du monde »[2].
La CDC nomme «la responsabilité du chrétien en politique, l’humanisme chrétien, le libre épanouissement de l’individu, la solidarité et la justice sociale»[2].