Le COFIC est inauguré en 1973 sous le nom de « Société de promotion cinématographique de Corée ». Il est renommé « Commission du film coréen » en 1999 et élevé en tant qu'organe autorégulateur pouvant instituer une politique cinématographique sans nécessiter la ratification du ministère de la Culture. Il change de nouveau de nom en 2004 pour « Conseil du film coréen » afin d'éviter toute confusion avec les commissions de cinéma régionales qui prennent en charge les tournages locaux[2],[3]
Rôles
Le COFIC est composé de neuf commissaires, dont un président à temps plein et 8 membres du comité, nommés par le ministère de la Culture, des Sports et du Tourisme, chargés de discuter et décider des principales politiques relatives aux films coréens[4].
Il vise à promouvoir et soutenir les films coréens en Corée et à l'étranger. Son objectif principal est de promouvoir et soutenir la production de films coréens grâce au financement, à la recherche, à l'éducation et à la formation. Il s'efforce également de développer davantage les marchés internationaux des films coréens et de promouvoir la compréhension interculturelle grâce à des échanges culturels cinématographiques[5],[6],[7],[8].
Chronologie (1973-2013)
- Fondé sous le nom de « Société de promotion cinématographique de Corée »[2].
- Établissement de l'académie des Beaux-arts coréenne.
- Établissement du fond pour la promotion du film coréen.
- Achèvement des studios Namyangju.
- La loi sur la promotion du film établit un cadre juridique pour le COFIC.
- Lancement de la « Commission du film coréen ».
- Renommé « Conseil du film coréen ».
- Établissement du fond pour le développement cinématographique.
- Ouverture à Pékin du Centre d'affaires du film coréen.
- Date limite pour le déménagement du COFIC à Busan.