Congrégation des cisterciens de l'Immaculée Conception
La congrégation des cisterciens de l'Immaculée Conception est une congrégation de l'ordre cistercien. Fondée en 1854 à Sénanque, elle fut initialement affiliée à la congrégation cistercienne Saint-Bernard d'Italie avant d'obtenir son autonomie en 1882[1]. La maison-mère de la congrégation est l'abbaye de Lérins dont l'abbé est de droit abbé président de la congrégation. La congrégation rassemble en 2020 plusieurs monastères d'hommes et deux monastères de femmes.
Histoire
Listes des abbayes et prieurés de la congrégation
Abbayes et prieurés appartenant actuellement à la congrégation (en 2020)
Roger Aubert et Antoine Woehl, art. "Lérins-Sénanque (Congrégation cistercienne de)", dans Dictionnaire d'histoire et de géographie ecclésiastiques, tome 31, Paris, Letouzey et Ané, 2015, c. 911-913.
Bernard Nicolas Aubertin, "L'approbation des Constitutions de la Congrégation Cistercienne de l'Immaculée Conception de Sénanque : la reconnaissance d'une "observance" (1854-1892)", dans Analecta Cisterciensia, XLIV, 1988, p. 225-307.
François-Xavier Redon, Un serviteur de Marie : le révérendissime Dom Marie Bernard, fondateur et premier vicaire général des Cisterciens de l'Immaculée-Conception, dits de Sénanque, abbé de Lérins, Lérins, Imprimerie de l'abbaye, 1907, 444 p. (lire en ligne)
Notes et références
↑Roger Aubert et Antoine Woehl, art. "Lérins-Sénanque (Congrégation cistercienne de)", dans Dictionnaire d'histoire et de géographie ecclésiastiques, tome 31, Paris, Letouzey et Ané, 2015, c. 912
↑François-Xavier Redon, Un serviteur de Marie : le révérendissime Dom Marie Bernard, fondateur et premier vicaire général des Cisterciens de l'Immaculée-Conception, dits de Sénanque, Lérins, Imprimerie de l'abbaye, , 444 p. (lire en ligne)
↑Édouard Capelle, Le Père Jean : abbé de Fontfroide, Toulouse, É. Privat, , 151 p. (lire en ligne)
↑Catalogus personarum religiosarum sacri et exemti Ordinis Cisterciensis, Vindobonae [Vienne], 1898, p. 243
↑Catalogus generalis (...) S. Ordinis Cisterciensis, Typis polyglottis vaticanis, 1931, p. 133