Le but premier de la CIT est de permettre à ses syndicats de partager l'organisation de nouvelles tactiques et stratégies[3]. Par exemple, l'organisation de « grèves sauvages, blocages routiers et autres moyens de résistances imaginatifs » (wildcat strikes, road blockades and other imaginative acts of resistance)[1]. On peut mentionner plus spécifiquement, l’expérience de la grève de prisonniers organisée par le Comité d'organisation des travailleurs incarcérés(en) (IWOC) de l'IWW. À ce stade la CIT cherche à élargir son adhésion pour inclure le Moyen-Orient, l'Amérique centrale, l'Amérique du Sud et l'Afrique du Nord[4].
Syndicats participants
Les syndicats qui prennent part à la fondation de la Confédération à Parme, le 13 mai 2018, sont principalement des syndicats appartenant auparavant à l'AIT, comme la CNT-e, l'USI et la FAU, mais aussi des syndicats appartenant à la Coordination rouge et noire, comme l'IP et l'ESE[5],[6].
↑CNT-f ; Secrétariat International, « Vers la refondation de l’Association Internationale
des Travailleurs-euses », Le Combat syndicaliste, , p.14-17 (lire en ligne)