Clare Byarugaba est une militante ougandaisepour la cause LGBT qui s'est opposée à la rhétorique anti-LGBT du gouvernement[1]. Elle est la coordonnatrice de la Civil Society Coalition on Human Rights and Constitutional Law, en français : Coalition de la société civile pour les droits de l'homme et le droit constitutionnel[2].
En 2013, elle devait ouvrir une section du PFLAG(en) à Kampala, afin de soutenir les parents de personnes LGBT dans un pays où le président a interdit l'homosexualité[1]. Après l'interdiction, elle est révélée par un tabloïd national qui affiche son visage en couverture, ce qui la met en danger[3].
En 2014, elle rejoint l'organisation de Women in the World(en) pour partager son histoire personnelle à travers sa mission d'organisation pour donner la parole aux femmes[4].
Vie personnelle
Clare Byarugaba est née et a grandi dans le sud-ouest de l'Ouganda[1]. Lorsque le président Yoweri Museveni interdit l'homosexualité en Ouganda, la mère de Clare menace de la dénoncer à la police du fait qu'elle est lesbienne[5].