La cinémathèque d'Alger ou cinémathèque algérienne est un établissement public, subventionné par l'État, créé le [1],[2], disposant de dix salles de diffusion du répertoire à partir de la cinémathèque d'Alger qui permet le lancement des programmes quotidiens à travers le territoire national[3].
En , le ministre de la Culture Azzedine Mihoubi a nommé le réalisateur et journaliste Salim Aggar à la direction de la cinémathèque d'Alger[5],[6]. Il occupe depuis ce poste.
Film documentaire
La réalisatrice franco-algérienne Jacqueline Messaouda Gozland retrace l'histoire de la cinémathèque d'Alger dans un documentaire intitulé Mon histoire n'est pas encore écrite, sorti en 2017'[7]. Ce «carrefour des arts situé entre l'université d'Alger, le Musée d'Art moderne d'Alger et le Théâtre national algérien»[8], fondé grâce à la volonté commune de Henri Langlois[9], Mahieddine Moussaoui et Jean-Michel Arnold[10], y apparaît comme un lieu culturel majeur, qui a contribué à l’essor d’une cinématographie nationale en Algérie[11]. Le film prend appui sur des archives et sur les témoignages de cinéastes et de critiques comme Jean Douchet, Sid Ahmed Agoumi, Farouk Beloufa, Ahmed Bejaoui, Lyes Meziani[12].
Notes et références
↑« « La saga de la création de la cinémathèque algérienne » : exposition et projections », Méditerranée audiovisuelle (lire en ligne)