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Fondateur de l'organisation panafricaine AfricTivistes en 2015 et initiateur de SUNU2012[2],[3].
Biographie
Lors de l'élection présidentielle de 2012 au Sénégal, il initie SUNU2012, une plateforme de monitoring citoyen électoral destinée à assurer la transparence électorale[4].
En 2014, Cheikh Fall est un des membre du groupe d’experts pour la réflexion sur Youth Civic Engagement de l’UNESCO[5].
Formateur en data journalisme, il a aussi déployé plusieurs formations en Afrique en développement média et numérique, notamment au Sénégal, Guinée, Niger et Burkina Faso[6].
En 2017, le programme « Afrique Média Cybersécurité » de son organisation AfricTivistes a formé plus de 500 professionnels et acteurs des médias de la société civile de l'Afrique de l'Ouest en cybersécurité[7].
En avril 2021, il est le chef du projet « Local open govlab » déployé dans 4 pays de la sous-région Afrique de l’Ouest notamment la république de Guinée, la Guinée Bissau, le Niger et le Sénégal, qui contribue à promouvoir l’ouverture des données gouvernementales en Afrique[8].
2016 : il reçoit le prix Diakonia, décerné par l'organisation suédoise du même nom, pour sa contribution significative à la consolidation démocratique en Afrique à travers les technologies de l’information et de la communication (TIC)[15].
2019 : il est classé parmi les cinquante jeunes les plus influents du Sénégal par Intelligences Magazine[16].