La chapelle Notre-Dame-de-Vie, qui date du XVIe siècle, a toujours conservé son origine romane; par ailleurs, elle a gardé la facture, reconstruite au milieu du XVIIe siècle, avec de vastes proportions ; grand porche à trois hautes arcades, petit clocher carré XIe siècle, grille en fer forgé, deux cippes romains, buste XVIIIe siècle de Sainte-Innocence, ex-voto, toile XVIIIe siècle ; ermitage début XVIIe siècle accolé, enclos avec croix XVe siècle[2].
Saint-Bernardin XVIe siècle, ancienne chapelle de pénitents (actuelle mairie) : abside semi-circulaire.
Église Saint-Jacques-le-Majeur d'origine romane très remaniée, notamment aux XVe siècle et XIXe siècle (2e nef), clocher carré à balustrade : toiles XVIIIe siècle et XIXe siècle, reliquaire XVIe siècle, mais aussi quinze gravures contemporaines représentant un Chemin de Croix réalisé par Maryvonne Schatz.
Notre-Dame-de-Vie était un sanctuaire à répit : on y amenait, parfois de fort loin, des enfants mort-nés : pendant la messe, ceux-ci étaient censés ressusciter quelques instants, mis à profit pour les baptiser[3].
Dans son jardin a été construit en 1931 un monumental tombeau pour la famille Guinness, dans lequel a été inhumée Bridget, épouse de Benjamin Seymour Guinness, décédée dans sa résidence voisine, le mas Notre-Dame-de-Vie[5].
Vue du jardin
Vue du jardin avec le tombeau
Vue du tombeau
Le projet de restauration
La chapelle subit maintenant une restauration pour devenir un petit musée et bien sûr garder son rôle de chapelle