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Boubacar Hama Beïdi appartient à l'ethnie peule[1]. Il est le fils d'un haut dignitaire de la cour royale du chef traditionnel de Birni N'Gaouré. Il a commecencé primaires à Birni N'gaouré[2].
Hama Beïdi a fréquenté le Lycée national de la capitale, Niamey, dont il sort diplômé en 1967 avec un baccalauréat. Il a consacré la majeure partie de sa vie professionnelle à l'enseignement élémentaire. Il a travaillé comme enseignant, directeur d'école et inspecteur scolaire, et a également enseigné la formation des enseignants. De 1989 à 1991, il a été membre de l'Assemblée nationale du Niger pour le parti alors unifié Mouvement national de la société de développement (MNSD-Nassara). Boubacar Hama Beïdi a consacré plusieurs écrits en français et en fulfulde à la culture des Fulbe de sa région natale du Dallol Bosso[3].
Les traces de ma mémoire. Souvenirs d’un instituteur nigérien. Mit einem Vorwort von Jean-Dominique Pénel. L’Harmattan, Paris 2014, (ISBN978-2-343-04199-5).
Le bruissement des souvenirs. Récit d’un instituteur nigérien. Mit einem Vorwort von Jean-Dominique Pénel. L’Harmattan, Paris 2017, (ISBN978-2-343-10291-7).
↑Boubacar Hama Beïdi et Jean-Dominique Pénel, Les traces de ma mémoire: souvenirs d'un instituteur nigérien, l'Harmattan, coll. « Écrire l'Afrique », (ISBN978-2-343-04199-5)