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Vice-présidente du Parti communiste du Népal (marxiste-léniniste unifié), elle est élueprésidente de la République par le Parlement le , obtenant 327 voix contre 214 pour le dirigeant du Congrès népalais, Kul Bahadur Gurung. Elle est la première femme à occuper cette fonction. Elle signe une révision d'un code pénal jugé archaïque. Cette réforme criminalise le système de dot et interdit la pratique d’ostraciser les femmes durant leurs règles[1].
En mars 2018, en prévision de l'élection présidentielle népalaise de 2018, elle annonce vouloir solliciter un second mandat. Un autre cadre du parti, Jhalnath Khanal, se porte candidat. Le parti se réunit en congrès le 6 mars pour décider entre leurs candidatures[2]. Bidya Devi Bhandari reçoit l'investiture et dépose officiellement sa candidature le lendemain[3],[4].
Kumari Laxmi Rai dépose sa candidature en tant que candidate du Congrès népalais. L'alliance de gauche détenant une majorité des deux tiers au parlement, ainsi que la majorité absolue dans six des sept provinces népalaise, la victoire de Bidya Devi Bhandari est considérée comme acquise[5]. Elle est ainsi réélue avec plus de 74 % des voix, contre environ 25 % pour son adversaire[6],[1].
Notes et références
↑ a et bAgence France Presse (AFP), « Second mandat pour la présidente du Népal, première femme à ce poste », lexpress.mu, (lire en ligne, consulté le ).