Dans la genèse de l'historisme, La théorie de l'histoire de Xenopol reste un ouvrage fondamental que commenteront notamment le théologien et sociologue allemand Ernst Troeltsch dans son magnum opusDer Historismus und seine Probleme (1922) et Raymond Aron dans son Introduction à la philosophie de l'histoire (1938). Les travaux épistémologiques de Xenopol sur l'histoire (ses réflexions sur l'événement, la logique de l'histoire, le recours au concept de « valeur » ou axiologie en histoire et l'établissement des faits) connaissent aujourd'hui un certain regain d'intérêt dans les recherches portant sur la philosophie de l'histoire et sur la causalité dans les sciences historiques.
Les principes fondamentaux de l'histoire, Paris, E. Leroux, 1899. Réédité en 1908 sous le titre : La théorie de l'histoire : des principes fondamentaux de l'histoire.
La question israélite en Roumanie, Paris, La Renaissance latine, 1902.
Politique de races, Rome, Forzani, 1903.
La causalité dans la succession, Paris, L. Cerf, 1904.
La notion de ″valeur″ en histoire, Versailles, de Cerf, extr. de Revue de synthèse historique, 1906.