En 2023, il fait partie des 20 coprésidents de l'association appui financier des Soulèvements de la Terre[5].
Œuvres
Après un début de carrière universitaire en philosophie, Alessandro Pignocchi se réoriente pour devenir auteur de bandes dessinées à l'aquarelle engagées en faveur de l'écologisme. À la lecture de travaux de l'anthropologuePhilippe Descola, il comprend que « la nature n’existe pas », la séparation entre les humains et les autres êtres vivants étant une construction occidentale récente et nuisible[2],[3],[6],[7].
Dans les trois tomes de la série Petit traité d'écologie sauvage, Alessandro Pignocchi imagine que l'animisme des indiens Jivaros d'Amazonie est devenue la pensée dominante, y compris parmi les dirigeants du monde.
↑« Alessandro Pignocchi, auteur de BD : « Mes années sabbatiques ont été décisives » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑ ab et cAlexandre-Reza Kokabi et Émilie Massemin, « Alessandro Pignocchi : « Il n'y a pas d’écologie sans lutte collective contre le monde de l'économie » », Reporterre, (lire en ligne, consulté le ).
↑ abc et dThibaut Sardier, « Alessandro Pignocchi, la ZAD à défendre », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
↑Catherine Vincent, « Alessandro Pignocchi : « À peine arrivé à Notre-Dame-des-Landes, j’ai été fasciné par ce qui s’y jouait » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).