En 1939, il est délégué du grand vizir à l'enseignement[3] et nommé par Mohammed V[1]. Les autorités françaises annulent sa nomination en 1944 et il est placé en détention à domicile pour deux ans[1].
Nationaliste ardent, il a passé sa vie à défendre la cause marocaine[1].
Références
↑ abcdefg et h(en) Translations on Sub-Saharan Africa : Islamic affairs, Habous minister, United States Joint Publications Research Service, (lire en ligne), p. 77