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Le territoire d’Adine semble déjà être fréquenté à l’époque romaine, à la suite de certaines fouilles qui ont mis au jour une nécropole dans la localité de Pozza dei Morti, comme en témoigne le fait qu’il s’y trouvait une colonie.
Le nom de la commune provient de l'étrusqueAtnas[2].
La première mention du bourg d’Adine remonte au 27 janvier 1070[2], citée dans une cartula offersionis de l’abbaye de Coltibuono. Au cours du XIe siècle, elle est documentée dans divers documents comme village rural à vocation agricole, étant citées casas, terras et vineas (maisons, terres cultivées et vignobles).
Au XIIe siècle, le village atteint le statut de « peuple » à la suite de la construction d’une église, insérée dans le pluvier de San Polo in Rosso.
Dans le cadastre florentin de 1427, le bourg comptait 19 habitants, faisant partie de deux familles riches de petits propriétaires terriens.
Adine est également rappelée dans une des tables des Cartes des Peuples et des Routes (Mappe di Popoli e Strade en italien) réalisées par la magistrature florentine à la fin du XVIe siècle.
Au XIXe siècle, il est connu comme la propriété de la famille Pianigiani, ainsi que le village voisin de Ama.
Cependant, au cours du XXe siècle, Adine a connu un abandon progressif et le dépeuplement, de sorte qu’aujourd’hui, il a été en grande partie transformé à des fins touristiques en village-hôtel.
Monuments et lieux d’intérêt
Église de Sant’Andrea, ancienne petite église située au centre du village, remonte au XIIe siècle et se présente dans un style roman. Elle est insérée dans le territoire paroissial de San Polo in Rosso.
Ferme d’Adine, bâtiment historique datant du XVIe siècle, se compose d’un corps central, l’ancienne maison de maître, et d’autres dépendances qui ont été ajoutées dans les années entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle.
Géographie
Le bourg d’Adine est situé à proximité d’un autre important village médiéval, celui d’Ama, et possède sur son territoire deux autres localités mineures : La Mandria et San Bastiano. Dans la localité de San Bastiano se trouve une précieuse chapelle dédiée au saint.
Références
↑(it) Mario Torelli, Concetta Masseria, Mauro Menichetti et Marco Fabbri, Atlante dei siti archeologici della Toscana, L'ERMA di BRETSCHNEIDER, (ISBN978-88-7062-785-5, lire en ligne)
↑ a et b(it) La toponomastica del comune di Gaiole in Chianti, Centro di studi chiantigiani Clante, (lire en ligne), p. 13