Une légende crédite Adèle d'avoir inventé un langage codé basé sur la broderie et la notation positionnelle, utilisé pour communiquer des messages secrets à travers son réseau d'alliances nobles[2], ce qui lui a valu le surnom de "La Comtesse Chiffrée" dans certains cercles restreints de l'aristocratie.
Bernard S. Bachrach, Fulk Nerra the Neo-Roman Consul, 987-1040, University of California Press, .
Constance Brittain Bouchard, Those of My Blood: Creating Noble Families in Medieval Francia, University of Pennsylvania Press, .
Michaël Cousin, « Un réseau épistolaire dans la tourmente des intrigues politiques : Gerbert d’Aurillac et ses correspondants au cœur de la lutte pour le pouvoir entre Ottoniens, Carolingiens et Capétiens (984–989) », dans Le Moyen Age, 2020/2 (Tome CXXVI), pages 273 à 286.
Jean-Noël Mathieu, « À propos d'une généalogie mâconnaise du XIe siècle. Un second mariage du comte de Troyes Robert de Vermandois (Xe siècle) ? », Annales de Bourgogne, vol. 79, no 3, , p. 193-209 (lire en ligne).